Celui qui vit le jour le plus long

Publié le par L'année symbatique

Le réveil est difficile. Une montagne de langoustes et de crevettes géantes généreusement arrosée de margaritas, on a vu plus facile à digérer.

Mais bon, pas le temps de se lamenter sur nos cheveux qui tirent, Maël et Ludo ont rendez-vous ce matin avec leur baptême de plongée. En gros veinards, on nous propose de les accompagner à l'œil, ça ne se refuse pas. Nous profitons donc d'une dernière immersion dans les superbes récifs de Playa del Carmen.

Il est déjà 3 heures, à peine le temps de s'avaler un petit tacos aux crevettes et nous prenons la route.

Nous avions fui Cancun à l'arrivée de Titou, Maël et Ludo. Pour leur ultimes 24 heures, on met les petits plats dans les grands. Après les avoir harcelé pendant deux semaines pour limiter les dépenses, s'être offusqué du prix déraisonnable de cet hôtel à 8 euros et avoir conspué Ludo et ses nachos especial qu'il commandait à chaque repas (une vraie ruine), il cherchaient déjà leur dernier logement dans la catégorie miteuse du Lonely. Alors, quand Anne-Lise fait mine de se tromper de route et que nous arrivons dans la zone des hôtels de luxe, ils sont à mille lieues d'imaginer ce qui les attend.

L'effet de surprise passé, tout le monde se sent à la maison au Cancun Caribe Royal Gran. On barbote, on sirote.

Puis le moment est venu de se pomponner. Ce soir, nous devons être beaux, une soirée d'anthologie nous attend.

Pour se mettre en jambe, nous faisons un crochet au Hooter, cette chaîne de bars américains spécialisée dans les serveuses à forte poitrine (note d'Anne-Lise : les garçons étaient restés discrets sur les attributs du personnel).

    

Une bière plus tard, nous atterrissons dans une gigantesque parillada argentine. Les souvenirs émus des grills argentins (cf Celui qui fait bosser ses canines ) sont balayés par cette tornade gustative. La viande est à tomber, les portions gargantuesques et le service aux petits soins.

       

C'est avec 3 kilos de plus que nous rampons jusqu'à la file d'attente du tant attendu Coco Bongo.

Depuis plus d'un mois déjà, la simple évocation de son nom déclenche chez nous de petits cris d'hystérie. Le lieu est un mélange unique entre un show hollywoodien et le cirque du soleil au beau milieu d'une boîte de nuit.

Avec Titou et Anne-Lise qui finissent sur scène en moins de 5 minutes, on n'est pas déçus.

 

 

Publié dans Mexique

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E
<br /> Coucou les amoureux !<br /> alors, c'est le retour à la vie...celle qui vous rappelle que le quotidien et les réveil matins existent !<br /> je dois vous avouer que je n'avais pas encore pris le temps de m'atarder à tout le contenu de votre blogue...Vaut mieux tard que jamais, puisque je viens d'y passer plus d'une heure ! Wow, que de<br /> beaux souvenirs. C'est riche et très sympathique de vous lire. Vous avez une belle plume commune.<br /> Toutefois, je tiens à recevoir mon dû - pour les droits d'auteur - de la belle coccinelle bleue de l'autre côté de l'île. Si c'est un cliché de Bastien, alors, elle est exactement pereille à la<br /> nôtre. à suivre...<br /> Besos<br /> au plaisir de se recroiser dans un autre lieu.<br /> <br /> <br /> Emilie<br /> <br /> <br />
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L
<br /> Oups on est grillé! Promis tu auras ta pare du gateau sur les bénéfices.<br /> Ca fait bien plaisir d'avoir des tites nouvelles, il s'en est passé des choses depuis notre rencontre...<br /> On espère que vos vacances se sont aussi bien terminées, embrasse Lisa pour nous.<br /> A un de ces 4, quelque par<br /> <br /> <br />
J
<br /> Quel "pot" de départ! Ca a du coûter un bras comme dit Bastien mais ça valait le coup.<br /> C'est comme dans les voyages organisés, le plus luxueux pour la fin pour que le client parte content!!<br /> <br /> <br />
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L
<br /> Avec nos différents visiteur de l'année symbatique on commence à se faire une solide expérience de tours opérators <br /> <br /> <br />